vendredi 25 mai 2007
jeudi 24 mai 2007
mardi 22 mai 2007
lundi 21 mai 2007
jeudi 17 mai 2007
Avoir des oursins dans les poches - Epilogue
"Jeannot, il te payera jamais la tournée. Il a des oursins pleins les poches"
... Je n'ai hélas pas trouvé de belle explication pour cette expression française. On sait seulement que cette expression vient du sud de la France. On comprend facilement qu'une personne qui a des oursins dans la poche est une personne avare... comme s'il y avait quelque chose qui l'empêchait de prendre ses sous dans sa poche!
... Je n'ai hélas pas trouvé de belle explication pour cette expression française. On sait seulement que cette expression vient du sud de la France. On comprend facilement qu'une personne qui a des oursins dans la poche est une personne avare... comme s'il y avait quelque chose qui l'empêchait de prendre ses sous dans sa poche!

mercredi 16 mai 2007
mardi 15 mai 2007
lundi 14 mai 2007
jeudi 10 mai 2007
Avoir le bourdon - Epilogue
« Avoir le bourdon »
Être triste, mélancolique.
Ne pas avoir le moral, avoir des idées noires.
Son origine:
Il existe au moins trois sortes de bourdons qui peuvent être associés à quelque chose de triste :
Le gros insecte qui est de la même famille que l'abeille et qui produit un son grave quand il vole. Si on en a plusieurs qui bourdonnent dans la tête, comme les idées noires, on ne peut qu'avoir le moral dans les chaussettes ;
En typographie, un bourdon, c'est l'oubli d'un mot, d'un groupe de mots, voire d'une phrase entière dans un texte. De quoi filer le bourdon pour la journée au fautif, non ?
Un bourdon c'est aussi une cloche, mais pas n'importe laquelle, puisqu'il s'agit d'un gros modèle (**) qui produit un son très grave et qui est en général utilisée pour signaler des évènements nationaux graves, du genre de ceux qui peuvent faire déprimer comme une défaite, par exemple.
C'est assez probablement d'un de ces bourdons qu'est née notre expression. Reste à savoir lequel...
Être triste, mélancolique.
Ne pas avoir le moral, avoir des idées noires.
Son origine:
Il existe au moins trois sortes de bourdons qui peuvent être associés à quelque chose de triste :
Le gros insecte qui est de la même famille que l'abeille et qui produit un son grave quand il vole. Si on en a plusieurs qui bourdonnent dans la tête, comme les idées noires, on ne peut qu'avoir le moral dans les chaussettes ;
En typographie, un bourdon, c'est l'oubli d'un mot, d'un groupe de mots, voire d'une phrase entière dans un texte. De quoi filer le bourdon pour la journée au fautif, non ?
Un bourdon c'est aussi une cloche, mais pas n'importe laquelle, puisqu'il s'agit d'un gros modèle (**) qui produit un son très grave et qui est en général utilisée pour signaler des évènements nationaux graves, du genre de ceux qui peuvent faire déprimer comme une défaite, par exemple.
C'est assez probablement d'un de ces bourdons qu'est née notre expression. Reste à savoir lequel...
mercredi 9 mai 2007
mardi 8 mai 2007
Avoir le bourdon
A partir de l'expression avoir le bourdon / tener el abejorro / aryga ega bo'lmoq / imet' shmelya
Catherine Cochard - Suisse
mercredi 2 mai 2007
mardi 1 mai 2007
Avoir du pain sur la planche - Épilogue
Si, de nos jours, "avoir du pain sur la planche" signifie avoir en perspective beaucoup de tâches fastidieuses à accomplir, le sens de cette expression était bien différent à la fin du XIXe siècle. Cela signifiait que l’on avait assez de réserves pour affronter l’avenir. Effectivement à cette époque les paysans préparaient de grandes quantités de pain qu’ils conservaient sur une planche de bois fixée au plafond. Par la suite, l’expression a pris le sens "d’avoir de quoi vivre sans devoir travailler".
Le sens actuel "avoir du travail en réserve" semble n’être apparu qu’au début du XXe siècle. Pourtant, une autre explication plausible a déjà été formulée quant à l’origine de cette expression. Au XIXe siècle, le tribunal distribuait les rations de pain aux accusés qui devraient s’acquitter de longues peines de travaux forcés. C’est de là que viendraient les idées de longueur et de pénibilité formulées dans cette expression.
Le sens actuel "avoir du travail en réserve" semble n’être apparu qu’au début du XXe siècle. Pourtant, une autre explication plausible a déjà été formulée quant à l’origine de cette expression. Au XIXe siècle, le tribunal distribuait les rations de pain aux accusés qui devraient s’acquitter de longues peines de travaux forcés. C’est de là que viendraient les idées de longueur et de pénibilité formulées dans cette expression.
Inscription à :
Articles (Atom)